Avis lecture : La Boîte à Musique de Mary Higgins Clark

Hello ! Aujourd’hui parlons lecture ! Pour ma reprise, j’ai voulu une valeur sure, en choisissant le livre d’une autrice que je sais facile à lire. Il s’agit de Mary Higgins Clark. Je vous donne donc mon avis sur son roman La Boîte à Musique mais avant cela, je vous dévoile le résumé :

Mary Higgins Clark, c’est, comme je le disais plus haut, un peu la valeur sure des thrillers. C’est facile à lire, clair à comprendre, accessible à tous, on sait qu’on va passer un bon moment. L’intrigue est bonne, peut-être classique, mais pour moi qui reprends la lecture, c’est très bien comme ça !

Après, est-ce que je me suis attachée aux personnages ? Pas plus que ça, je l’ai lu vraiment avec détachement, ça ne m’a pas forcément touchée en plein cœur comme certains romans qui laissent un écho de réflexions et d’émotions à la fin de la lecture. Je ne me suis pas mise à la place des personnages non plus comme ça peut m’arriver.

En outre, je me suis interrogée à un moment sur le titre et son rapport avec l’histoire mais j’ai vite compris le lien, que l’on découvre au bout d’un moment dans l’intrigue.

Malgré ce manque d’émotions, j’ai tout de même apprécié cette lecture et je lirai avec plaisir d’autres œuvres de l’artiste !

Et vous, aimez-vous les thrillers ?

Connaissez-vous Mary Higgins Clark ?

Ce roman vous plairait-il?

Mon avis lecture sur Célestine de Sophie Wouters

Aujourd’hui, je viens vous parler lecture, si si ! Je sais j’en parle très rarement, limite jamais, mais je continue tout doucement de reprendre mes petites passions et la lecture en fait partie ! J’ai eu l’honneur de recevoir ce roman via le site de tests Aviquali afin d’en donner mon avis, j’en profite donc pour vous partager l’avis que j’ai laissé et qui a été diffusé sur le site de la Fnac, dans lequel vous pouvez retrouver ce livre au prix de 16€ si vous voulez vous le procurer !

Résumé

Années soixante, quelque part dans la France profonde. Célestine, orpheline dès sa naissance, est élevée par de lointains parents qui n’avaient jamais voulu d’enfants.
Dix-sept ans plus tard, l’adolescente se retrouve devant la cour d’assises des mineurs. Mais que s’est-il donc passé pour que la ravissante et douce Célestine, dont l’avenir était plus que prometteur, soit jugée pour un crime dont tout semble l’accuser ?

Mon avis

Une répercussion déconcertante sur mon état d’esprit à la fin de la lecture de ce roman … A la fois projeté dans le passé pour comprendre le présent, on découvre Célestine, de sa naissance jusqu’à ce fameux procès qui se déroule dans le temps présent. Une naissance pas comme les autres, suite à l’accident de voiture de ses parents qui n’auront pas survécus, la naissance par césarienne me touche personnellement, ayant vécu cela en urgence. L’histoire de Célestine me touche et me bouleverse.

Elle commence plutôt lentement, on y découvre un peu la vie à l’époque des années 60, jusqu’au fameux jour où tout bascule pour Célestine. A partir de ce moment-là, on accélère la cadence, on commence à comprendre un peu le registre du drame qui la projettera sur le banc des accusés ; on se pose des questions sur la victime, tout en se demandant si Célestine est réellement coupable même si on se doute que la situation risque d’être plus complexe que ce qu’on imagine.

Arrivée à la fin, je commence à comprendre où l’auteure veut nous mener, et on comprend ainsi pour quelle raison Célestine est envoyée sur le banc des accusés. Ce qui ne m’étonne guère ! Mais la façon de rédiger ce passage est tellement déconcertante, tellement violente en terme de psychologie, en terme d’image mentale, que j’en suis encore bouleversée plusieurs heures après la fin de la lecture. C’est étrange car je m’y attendais, donc je ne suis pas surprise en soi, mais l’auteure a su trouver les mots qui résonnent en moi pour marquer au fer vif.

Une autre situation bouleversante qui se déroule à la toute fin du roman, que je vous laisse découvrir par vous-mêmes !

A travers son roman, Sophie Wouters nous transporte dans une autre époque, où la mentalité était différente d’aujourd’hui : le rapport campagne / ville, le luxe d’avoir un vieux téléviseur, les mentalités de l’époque, le rapport à la religion, mais aussi l’exigence d’un parent sur l’éducation d’un enfant (Berthe trouve plein de défauts à Célestine alors qu’elle a tout pour réussir, qu’elle est polie et aimante).

Pour conclure, je dirais qu’il y a parfois des moments lents, mais qui permettent aussi de réfléchir sur d’autres moments plus vifs, sur l’état d’esprit de l’époque, à travers le regard d’une enfant qui voit sa vie bouleversée, ce qui nous touche en tant qu’être humain mais aussi en tant que parent, de façon universelle, peu importe l’époque !